Conseiller municipal depuis 2013, Michel Trottier se réjouit de sa proximité avec ses concitoyens, pour lesquels il milite sans relâche. Laval en famille Magazine a eu l’occasion de lui parler et de revenir sur son parcours et sur les réalisations dont il est particulièrement fier.

Michel Trottier a toujours été fortement impliqué dans la vie communautaire lavalloise, ville qu’il habite depuis plus de 30 ans. Ancien enseignant et directeur d’école, il a notamment été président de l’association des résidents de son quartier, à Champfleury, à Sainte-Rose. Son objectif : améliorer la vie des citoyens de son quartier. Il a ainsi permis le développement d’initiatives locales par et pour les habitants de son quartier.

C’est en 2012, à la suite de l’ère de Gilles Vaillancourt et du renouveau de la scène politique de la ville de Laval, que Michel Trottier a franchi le pas et s’est lancé en politique municipale.

La proximité et l’impact social
Que représente la politique municipale pour Michel Trottier ? Il stipule : « La politique municipale, c’est l’instance institutionnelle la plus proche des citoyens. » En effet, le conseiller municipal demeure dans le quartier, il connaît les enjeux auxquels sont confrontés ses habitants, jour après jour. « Pour moi, il est donc extrêmement important qu’on puisse me joindre facilement. Il est possible de trouver mon numéro de cellulaire sur le site de la ville. Je suis également joignable par courriel et sur les réseaux sociaux. »

Il ajoute : « La politique municipale, c’est également l’instance qui a le plus d’impact sur la vie des gens. La ville est le meilleur endroit pour créer une transformation sociale qui améliore la qualité de vie locale. Par exemple, on s’occupe de l’aménagement des parcs, des boisés, des infrastructures. C’est la politique de tous les jours. On veut tous un milieu de vie beau et sécuritaire, et la politique municipale est le moyen d’y parvenir. On agit dans le présent afin de pouvoir se projeter dans l’avenir. »

Des réalisations qui rendent fiers
Parmi les nombreux projets mis en branle à la ville de Laval, M. Trottier tient à souligner l’abolition des frais de dépôt de matériaux secs. En effet, depuis le 21 juin 2021, les Lavallois peuvent se débarrasser de 12 m3 de matériaux secs gratuitement par année. Certains, tels que les débris de construction ou de rénovation, les électroménagers usagés, les souches et les troncs d’arbres, peuvent être récupérables. Ainsi, les résidents sont amenés à se débarrasser de ces matériaux de façon conforme, sécuritaire et écologique.

En termes de réalisations pro-environnementales, M. Trottier mentionne aussi le frein à l’abattage des arbres lors des projets de construction. Avant, un promoteur pouvait acheter un terrain et y abattre les arbres qui s’y trouvaient. Un règlement est en passe de voir le jour afin que les promoteurs conservent les arbres matures déjà existants sur une parcelle de terre. « Cela va nous permettre de rendre nos quartiers plus beaux et plus verts tout de suite, ainsi que de diminuer les îlots de chaleur. Lorsque nous abattons un arbre mature, il faut en planter 23 plus petits afin de compenser cette perte. Il est donc extrêmement important de préserver les arbres matures existants. »

Ces deux réalisations s’inscrivent dans la volonté du conseiller de Marc-Aurèle-Fortin d’offrir aux citoyens des rues, des quartiers et une ville dont ils peuvent être fiers.