Le camp de jour peut être une expérience très positive pour les enfants qui le fréquentent. Chaque jour, des activités sont organisées pour eux afin de les divertir, de leur faire pratiquer un sport ou de leur apprendre quelque chose. C’est une expérience enrichissante qui marque annuellement leur vie.
Cependant, certains enfants peuvent avoir plus de réticences que d’autres à se joindre au groupe. Si c’est le cas de votre enfant, voici quelques conseils afin de faciliter l’adaptation au camp de jour cette année.
Faire du travail en amont
Avant le jour J, il est important de discuter avec son enfant de ce qui
va l’attendre. Si cela est possible, impliquez-le dans le choix du camp de
jour. Choisissez un endroit qui propose des activités qu’il ou elle aime. Vous
pouvez aller visiter les lieux ensemble avant le début du camp afin de diminuer
la peur de l’inconnu. Aussi, cela peut être une bonne idée de parler du camp de
jour dans une optique positive avant que la période des vacances ne commence.
Inscrire des ami(e)s ensemble
Si cela est possible, il pourrait être bénéfique d’inscrire un(e)
ami(e) de votre enfant au même camp de jour. Le fait de voir un visage familier
peut grandement rassurer les enfants qui ont peur de ne pas être capables de se
faire d’amis, par exemple.
Se tenir au courant du quotidien
Une fois la période du camp de jour commencée, discutez-en avec votre
enfant. Quelles activités a-t-il faites aujourd’hui ? Laquelle a-t-il préférée
? Est-ce qu’il a rencontré des amis ? Cela permet de garder un œil sur la façon
dont votre enfant s’adapte au camp de jour, et s’il y a matière à s’inquiéter.
Mettre l’accent sur le positif
Souvent, les enfants sont craintifs devant l’inconnu, puis changent
d’idée une fois qu’ils s’aperçoivent qu’il n’y avait rien à craindre. Si votre
enfant est négatif par rapport au camp de jour, essayez de lui rappeler les
côtés positifs qu’il aime ou qu’il a aimés par le passé : les activités
amusantes, les amis qu’il a rencontrés ou les souvenirs qu’il va créer.
Chercher conseil chez les spécialistes — les moniteurs !
Et enfin, si des problèmes persistent, il peut
être temps de contacter les moniteurs ou monitrices afin de discuter des
solutions qui peuvent aider votre enfant à mieux s’adapter. A-t-il besoin de
changer de groupe ? Est-ce qu’il pourrait faire plus d’une sorte d’activité que
d’une autre ? Les moniteurs et les monitrices sont les premiers à remarquer les
tensions au sein d’un groupe. Si votre enfant ne s’adapte pas convenablement,
ils sauront vous conseiller sur les mesures à prendre.